papou
retraité
72 ans
À l'école primaire, mauvais en orthographe, l'exercice de la dictée était pour moi un calvaire qui se concluait par la note de zéro. Cette souffrance prit fin lorsque je partis pour le monde du travail. Puis, le temps passant, je me rendis compte qu'il était nécessaire de maîtriser l'oral et l'écrit de la langue de son pays pour être réellement acteur de sa vie. Ce que je fis en m'abreuvant de lectures plus diversifiées les une que les autres. Depuis, les mots, de plus en plus nombreux, sont devenus de fidèles compagnons. Ainsi, depuis plus de quarante ans, j'aime en aligner un certain nombre dans des récits, le plus souvent inventés.